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Un bon bouquin, ça ne périme pas! Et après, ça passe en poche et c'est encore mieux parce qu'on peut l'emporter partout! 

deckPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Trois suggestions de lecture pour cette semaine. D’abord, on commence avec l’impeccable Julia Deck pour un texte consacrée à sa mère, l’Angleterre et un secret. On enchaîne avec l’élégante Claudie Gallay pour un séjour sur l’île de Torcello à Venise. On boucle le grand Alain Mabanckou qui mêle, dans un livre éblouissant, l’Amérique avec des bribes de son autobiographie et de la biographie de la militante pour les droits de l’homme Angela Davis… Bonne lecture !

Lire la suite : Une semaine de lecture avec Julia Deck, Claudie Gallay et Alain Mabanckou

Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / En cette rentrée où paraissent pas moins de 459 romans d’ici la fin octobre, une quatrième et dernière sélection de sept romans indispensables. Bonne lecture !

Lire la suite : C’est la rentrée avec… Justin Torres, Emma Becker, Vera Bruck, Philippe Jaenada, Rebecca Lighieri,...

selection 2024Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / En cette rentrée où paraissent pas moins de 459 romans d’ici la fin octobre, une nouvelle sélection de sept romans indispensables. Bonne lecture !

(Le coup de cœur)

PHILIPPE RIDET : « Bande de héros »

Une entrée « andante » : « Les pieds nus sur la table basse du salon, le téléphone sur les cuisses, Jean-Denis composait le numéro de ses amis. Revenu depuis quelques heures dans la maison de son enfance, avenue Sadi-Carnot, il avait, à la suite de divers rituels, repris possession de cette villa où s’attachaient ses plus beaux souvenirs ». A chacun de ses interlocuteurs, Jean-Denis, dit « Jidé », annonce : « La voie est libre »… Ouverture de « Bande de héros », le délicieux troisième roman de Philippe Ridet, hier journaliste pointilliste, aujourd’hui écrivain de l’aube et du crépuscule. Après « Ce crime est à moi » et « Les Amis de passage », il boucle avec cette « Bande de héros » un triptyque consacré au temps de ces jeunes années, au carrefour des années 1970-1980, dans une ville moyenne de province- Bourg-en-Bresse, pour ne pas la nommer ! Les parents de « JiDé », comme chaque année, lui confient leur maison, là où il a grandi. Donc, il convie ses ami.e.s à une soirée, à une nuit… Il y a Walter dit « Rhodes », Alain alias « Abdul », Harold « le Major », et aussi Livia, la sœur de Walter. D’autres ne seront que de passage, appelé.e.s par une pop d’hier, du rosé et des gins-ananas... Avec « Bande de héros », Philippe Ridet- maître du style elliptique, nous offre en toute simplicité un roman d’excellence.

Bande de héros
Auteur : Philippe Ridet
Editions : Equateurs
208 pages
Prix : 20 €

 

EVA AAGAARD : « Je ne veux pas »

Une nuit. Puis le matin. Le flou, le trouble chez Miriam : elle se réveille aux côtés de son compagnons, des feuilles mortes dans les cheveux… Un peu plus loin, là, son bébé dort. Le flou, le trouble et ces mots qui lui reviennent, encore et encore. « Je ne veux pas », ils donnent le titre du roman intense et captivant de la Danoise Eva Aagaard- son premier traduit en français. La veille, Miriam a laissé son compagnon et le bébé pour vivre comme avant, passer la soirée avec une amie dans un bar. Au programme, danser, s’amuser… et rentrer tard. Mais lorsqu’elle se réveille, elle perçoit que quelque chose ne va pas. Les informations se bousculent, elle ne sait comment les prendre avant de pouvoir, enfin, reconstituer la soirée et dire : « J’ai été violée »…

Je ne veux pas
Auteure : Eva Aagaard
Editions : Denoël
288 pages
Prix : 22 €

 

CLEMENCE BOULOUQUE : « Le Sentiment des crépuscules »

Une rencontre aussi méconnue que follement improbable. A Londres, le 19 juillet 1938, l’écrivain Stefan Zweig et le peintre Salvador Dali visitent le psychanalyste Sigmund Freud, exfiltré voilà peu de l’Autriche nazie, ainsi que le rapporte Clémence Boulouque dans son roman « Le Sentiment des crépuscules ». L’écrivain a organisé la rencontre à la demande du peintre- il vénère le psychanalyste et tient absolument à lui montrer une de ses toiles. Avec le peintre, son épouse Gala et son agent. Avec Freud, son épouse Anna. Facétieux, Dali y va de ses extravagances- conséquence : peu à peu, tou.te.s laissent libre cours à leurs démons en écho à une époque qui court au chaos. Un roman très réussi entre détails vrais et confidences imaginées.

Le Sentiment des crépuscules 
Auteure : Clémence Boulouque
Editions : Robert Laffont
176 pages
Prix : 19 €

 

ABUBAKAR ADAM IBRAHIM : « Quand nous étions des lucioles »

Après « La Saison des fleurs de flamme » (2018, récompensé par le Nigeria Prize for Literature), on retrouve Abubakar Adam Ibrahim pour la VF de son deuxième roman, « Quand nous étions des lucioles ». Tenu à 45 ans pour l’un des écrivains les plus fameux de son pays- le Nigeria, il propose là un livre-invitation au voyage. On file jusqu’à la gare flambant neuve d’Abuja, la capitale du pays ; on y croise le peintre Yarima Lalo. Soudain, il se souvient de l’assassinat dont il a été victime dans le train. Puis d’autres flashs de ses morts précédentes reviennent… Que lui arrive-t-il ? Il tente de comprendre ce qui semble incompréhensible… Et si tout était expliqué dans ses peintures expressionnistes ? Sans oublier Aziza, la jeune femme qui se bat pour garder sa fille. Un roman entre rêve et réalité.

Quand nous étions des lucioles »
Auteur : Abubakar Adam Ibrahim
Editions : Julliard
496 pages
Prix : 26 €

 

DAVID JOY : « Les Deux Visages du monde »

Pour certains, il est le digne héritier de Ron Rash. Pour d’autres, il est l'un des écrivains les plus marquants de sa génération. Après « Là où les lumières se perdent », l’Américain David Joy, 41 ans, nous revient avec un cinquième roman, « Les Deux Visages du monde ». Une jeune artiste afro-américaine, Toya Gardner, vient de vivre quelques années à Atlanta ; elle décide de retourner en Caroline du nord, dans une petite ville dans les montagnes- de là, sa famille est originaire. Très vite, elle ne manque pas de rappeler l’histoire esclavagiste de la région. Un policier, Ernie, arrête un voyageur, il est suprémaciste blanc et possède un carnet avec le nom des notables de la région. Quelque temps plus tard, deux meurtres sont perpétrés dans la région. Des secrets enfouis vont ressurgir…

Les Deux Visages du monde 
Auteur : David Joy
Editions : Sonatine
432 pages
Prix : 23 €

 

MARCUS MALTE : « Aux marges du palais »

En confidence, auteur aussi remarqué que remarquable, Marcus Malte évoque « une farce politique, littéraire, révolutionnaire ». Rien que ça ! On n’en demande pas plus pour lire avec gourmandise son nouveau roman au titre délicieux, « Aux marges du palais ». Equilibriste surdoué, Malte ne craint pas le changement de genre. Ainsi, il nous emmène en un royaume nommé Frzangzwe- avouons-le, il ressemble fort à la France. Et nous voilà emportés dans un voyage où les dérives sont nombreuses. « C’est un coup de griffe aux dirigeants et à la politique en général », dit Malte. Allégrement foutraque, le roman est habité par de singuliers personnages, dont l'Archimaréchal Herbert Robert. Deux camps s’affrontent : « les marges » et « le Palais ». C’est follement politique, furieusement loufoque !

Aux marges du palais
Auteur : Marcus Malte
Editions : Zulma
496 pages
Prix : 24 €

 

GWENAËLE ROBERT : « Un jardin pour royaume »

En Pays de Valois, au nord de Paris, l’écrivain-philosophe Jean-Jacques Rousseau a bouclé sa vie dans un pavillon en forêt d’Ermenonville. Dans les années 1980, les parents de la narratrice y acquièrent une maison- pour vivre éloignés du tourbillon contemporain. Une dizaine d’années plus tard alors que sa fille va quitter le domicile, la narratrice quitte Brest et revient sur les lieux, dans ce havre à cinq kilomètres d’un village d’une centaine d’habitants- c’est le sujet principal du bel et nouveau roman de Gwenaële Robert : « Un jardin pour royaume ». L’ombre de Rousseau, « l’homme de la Nature et de la Vérité », plane sur ce jardin-royaume. Souvenirs d’enfance, d’années « heureuses entre toutes » avant l’âge adulte. Un texte délicieusement mélancolique.

Un jardin pour royaume
Auteure : Gwenaële Robert
Editions : Presses de la Cité
208 pages
Prix : 20 €

 

Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / En cette rentrée où paraissent pas moins de 459 romans d’ici la fin octobre, une deuxième sélection de sept romans indispensables. Bonne lecture !

Lire la suite : C’est la rentrée avec… Camila Sosa Villada, Catalin Dorian Florescu, Hwang Bo-reum, Arthur...

RentréePar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / En cette rentrée où paraissent pas moins de 459 romans d’ici la fin octobre, une première sélection de sept romans indispensables. Bonne lecture !

Lire la suite : C’est la rentrée avec… Gabriella Zalapi, Muriel Barbery, Miguel Bonnefoy, Mariana Enriquez, Amélie...

avrilPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Trois suggestions de lecture pour cette semaine de pré-rentrée littéraire d’août 2024. D’abord, on commence avec le toujours impeccable Michael Cunningham qui déroule un jour d’avril en trois temps. On enchaîne avec Maylis de Kerangal pour un séjour-enquête au Havre avec une doubleuse de cinéma convoquée par la police pour identifier (ou non) le corps d’un homme retrouvé sur une plage avec son numéro de téléphone dans ses affaires. On boucle la semaine avec Alice Zeniter qui, pour son sixième roman, envoie sa narratrice en Nouvelle-Calédonie pour un retour aux sources… Bonne lecture !

Lire la suite : Une semaine de lecture avec Michael Cunningham, Maylis de Kerangal et Alice Zeniter

archambaultPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Avec les Jeux olympiques et paralympiques, pendant six semaines, Paris va être la capitale du monde pour plus d’un million de spectateurs et d’un milliard de téléspectateurs. Ce sera tout simplement l’événement sportif de l’année, on le décode en cinq livres indispensables. Revue de détails, et bonne lecture !

Lire la suite : Des Jeux olympiques à pleines pages

BéliarrdPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Trois suggestions de lecture pour une semaine.

Lire la suite : Une semaine de lecture avec Marine Béliard, Quentin Mouron et Don Winslow

marcolongoPar Serge Bressan - Lagrandeparade.com / Trois suggestions de lecture pour une semaine. D’abord, on commence avec l’helléniste italienne Andrea Marcolongo qui signe un impeccable essai sur l’« art de courir ». On enchaîne avec le nouveau roman de Robert Namias pour une vertigineuse plongée dans une « bande des quatre ». On boucle la semaine dans un quartier huppé de San Francisco avec l’Américaine Vendela et son héroïne de narratrice entre raison et déraison. Bonne lecture !

Lire la suite : Une semaine de lecture avec Andrea Marcolongo, Robert Namias et Vendela Vida

sapienzaPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Trois suggestions de lecture pour une semaine. D’abord, on commence avec la biographie essentielle et définitive signée Nathalie Castagné et consacrée à la grande écrivaine italienne Goliarda Sapienza. On enchaîne avec la première traduction en français d’un roman de l’éblouissante figure des lettres espagnoles, Montserrat Roig. On boucle la semaine avec le « Journal » que Chantal Thomas a tenu en Arizona entre janvier et juin 1982, une période qu’elle qualifie de « rebelle et vagabonde ». Bonne lecture !

Lire la suite : Une semaine de lecture avec Nathalie Castagné, Montserrat Roig et Chantal Thomas

bornaisPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Trois suggestions de lecture pour une semaine. D’abord, on commence avec le nouveau texte de Gilles Bornais, connu pour ses polars impeccables, qui invite à plonger dans le grand bain ou dans l’eau vive. On enchaîne avec un poids lourd XXL du thriller « à la française » : Franck Thilliez- et nous voilà embarqués, lecteurs, dans le Grand Nord québécois pour un roman de sang et de glace. On boucle la semaine avec le premier roman de l’Américaine Michelle Zauner, connue comme chanteuse d’un groupe indie-pop- on savoure sans modération son texte d’amour, de deuil et de cuisine. Bonne lecture !

Lire la suite : Une semaine de lecture avec Gilles Bornais, Franck Thilliez et Michelle Zauner

yséPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Trois suggestions de lecture pour une semaine. D’abord, on commence avec le premier recueil de poésie de la chanteuse et romancière Clara Ysé, flottant entre deuil, tristesse et beauté de l’amour. On enchaîne avec le nouveau livre d’Alain Damasio pour des chroniques de San Francisco en forme de guide du « biopunk ». On boucle la semaine avec le nouveau polar très réussi de Ian Manook qui, en compagnie de Kornelius Jakobsson, emmène le lecteur sur les terres islandaises. Bonne lecture !

CLARA YSÉ : « Vivante »

Elle chante magnifiquement- à preuve, « Oceano Nox », son deuxième album dans les bacs à l’automne dernier). Elle écrit élégamment- un premier roman, « Mise à feu », prix littéraire de la Vocation 2021, et ce printemps, « Vivante », un recueil de quatre-vingt-trois poèmes (dont l’ultime en anglais). A 32 ans, Clara Ysé fait sensation dans le monde des arts et des lettres francophones. Fille de la philosophe et psychanalyste Anne Dufourmantelle, elle a débuté le violon à 4 ans, joué de la guitare, suivi des cours de chant lyrique… « Une voix qui soulève le sable, qui traverse le feu, transperce la nuit, franchit en souveraine des continents de sentiments et transporte avec elle la douleur autant que ses remèdes », assure sa société de production. Cette voix qui dit le deuil, la tristesse et la beauté de l’amour. Avec Clara Ysé, on plane à des altitudes que tou.te.s autoproclamé.e.s « poètes en vers libre » du moment n’atteindront jamais. Tout, chez cette jeune femme, est choc et charme. Rompre, rêver, « Ramasse les mots perdus les mots oubliés / Les mots qu'aurait dits ta mère / Écoute-les en toi ils prennent refuge ». Musique poétique, poésie musicale pour la mélancolie vivante, pour le désir qui est la plus belle « façon d’honorer l’existence »…

Vivante
Auteure : Clara Ysé
Editions : Seghers
210 pages
Prix : 17 €

 

adamasioALAIN DAMASIO : « Vallée du silicium »

Tenu pour l’un des meilleurs auteurs de science-fiction de l’époque, il promène une rondeur bienveillante. Et manie l’art de la formule. Ainsi, présentant son nouvel et emballant livre, « Vallée du silicium », Alain Damasio a expliqué que « l’Amérique est le visage avancé de notre époque », confié qu’« on est dans un monde repensé par la Silicon Valley » et constaté qu’ « avec le monde numérique, nous sommes devenus les bureaucrates de nos propres vies ». Tout cela, il le consigne donc dans ce livre rédigé au retour d’un séjour d’un mois en avril 2022 à la villa Albertine, à San Francisco. Après le succès de son précédent texte (« Les Furtifs », 2019), il s’est immergé dans la Silicon Valley, cette Vallée du silicium où le temps des chimères n’est pas une vaine notion, et n’a pas eu à se forcer pour observer chez l’homme son aliénation de l’homme au numérique. Ce qui l’amène à envisager comment dépasser cette aliénation. Chez Damasio, il est question de « polytique », de création artistique ou encore d’écologie. Au fil des pages, il se plaît à lancer des néologismes, tels « numiversel » ou encore « Abracadata ». Dans « Vallée du silicium » qui a les belles allures des chroniques de San Francisco, avec pétillance et argumentation, Alain Damasio a écrit le premier guide du « biopunk » !

Vallée du silicium
Auteur : Alain Damasio
Editions : Seuil
336 pages
Prix : 20 €

 

manokIAN MANOOK : « Krummavísur »

Direction, le Grand Nord. L’Islande, terre des elfes et des volcans. Un chalutier est arraisonné par un hélicoptère des forces spéciales. A son bord, y est découvert le corps de la jeune Anika dont la disparition avait angoissé tout le pays. Un peu plus loin dans la lagune de Jökulsarlon, pris dans les glaces, sont découverts trois corps. Et puis, avec le réchauffement climatique qui a fait fondre la glace, apparaît une base nucléaire américaine… Tout y est pour un polar du meilleur effet- ce qui donne l’excellent « Krummavísur », troisième polar (après « Heimaey » et « Askja ») du toujours impeccable Ian Manook qui, après quelques textes avec l’Asie pour décor, a changé de cap en installant son roman dans le Grand Nord. La belle occasion, pour l’auteur, de remettre en piste le détective Kornelius Jakobsson, tenu pour le « pire meilleur flic » d’Islande, lui qui prend plaisir à saboter sa vie. C’est donc à lui qu’est confiée l’enquête sur ces disparitions mais vite, il se trouve confronté à quelques politiciens pour qui « intégrité » est un mot absent de leur vocabulaire. Flamboyant autant qu’imprévisible, colosse magnétique, Jakobsson chante dans une chorale de femmes mais n’aime rien plus que fredonner, seul, la complainte triste du corbeau affamé, le Krummavísur...

Krummavísur
Auteur : Ian Manook
Editions : Flammarion
450 pages
Prix : 22,50 €

fournelPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Trois suggestions de lecture pour une semaine. D’abord, on commence avec le toujours impeccable Paul Fournel pour un voyage en Haute-Loire en trente-trois nouvelles. On enchaîne avec Lionel Froissart, l’un des meilleurs écrivains du sport automobile (et pas que !), qui se met en « je » pour évoquer Ayrton Senna, trente ans après sa mort dans un accident sur le circuit d’Imola. On boucle la semaine avec la romancière, journaliste et scénariste Simonetta Greggio pour (tenter de) percer le mystère B.B.- comme Brigitte Bardot…Bonne lecture !

Lire la suite : Une semaine de lecture avec Paul Fournel, Lionel Froissart et Simonetta Greggio

butPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Trois suggestions de lecture pour une semaine. D’abord, on commence avec Pascal Fioretto, le « génie du pastiche », qui se glisse dans les mots d’Annie Ernox, prix Nobel de littératchure ». On enchaîne avec l’impeccable Nancy Huston pour un récit dans le bois de Boulogne avec une transsexuelle et sa journée de travail avec dix-sept clients. On boucle la semaine avec le formidable Riton Liebman, vedette de son quartier à Bruxelles à 13 ans, pour un livre-confession entre humour à la sauce Allen et surréalisme belge. Bonne lecture !

Lire la suite : Une semaine de lecture avec Pascal Fioretto, Nancy Huston et Riton Liebman


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