Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/ C’est la bonne surprise de cette fin d’année. Ceux qui connaissent « La Clique », spectacle de cirque improbable, auront une petite idée de ce qui les attend. En moins trash. « Les Inclassables » est un spectacle… inclassable, car non résumable, impossible à étiqueter. Pour tout public, avec au programme de l’humour, de l’émotion, du rêve… de l’émerveillement. « Les Inclassables » réunissent quasiment tous les genres du spectacle vivant : comédie, mime, danse, musique, cirque: « Nous sommes à l’ère des croisements, des mélanges, assure Eric Bouvron, le Monsieur Loyal à l’accent sud-africain ( ?!). On ne peut pas classer un musicien qui jongle tout en faisant rire en imitant un éléphant qui danse sur des patins à roulettes sur la banquise. Donc on dit c’est un inclassable. ».
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ A l'ouverture une reine machiavélique qui a des soucis avec un miroir qui n'en fait qu'à sa tête...non seulement elle veut être la plus belle...mais la plus riche aussi et cet impertinent lui apprend qu'il existe dans la forêt de Sherwood un certain Robin des bois qui l'est bien davantage qu'elle!
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Zazagrana, c'est un surnom adorable et plein d'affection ; le surnom de la grand-mère de la conteuse qui nous fait face.
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Imaginez quoi! La 6ème D va partir en classe verte!
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Par Nelly Bonnet - Lagrandeparade.com/ Un couple diaboliquement mythique se confronte à son vécu dans un décor à la sobriété mystérieuse.
Leur tissu de complots, de doutes et de désirs s’apprête à tomber à l’unisson avec celui du rideau, des masques et des costumes. Leurs tirades mélancoliques, acérées et métaphoriquement délicieuses suscitent exclamations et ricanements d’un public qui jubile devant cette interprétation d’une précision enflammée.
Excellant à ne plus savoir s’ils torturent l’autre ou eux-mêmes, les deux comédiens pour quatre personnages déclament un venin sensuel, mi-complices mi-bourreaux inspirés et incarnés avec force et brio, entre le panache d’Hélène Alexandridis et la langue affûtée de Stanislas Nordey.
La scénographie est intrigante et lumineuse, la musique d’Alexandre Meyer (directement servie par sa présence sur scène) dresse un pont qui assure la prolongation de l’émotion, des planches jusqu’à la salle.
Quand l’exaltation de la pièce s’achève, évidemment on en voudrait encore, jamais lassés de mélange idéalement dosé de délicatesse et de bestialité.
QUARTETT
Texte : Heiner Müller
Traduction française : Jean Jourdheuil et Béatrice Perregaux
Mise en scène : Jacques Vincey
Avec Hélène Alexandridis, Stanislas Nordey, et le musicien Alexandre Meyer
Collaboration artistique : Blanche Adilon-Lonardoni
Conseil dramaturgique : Irène Bonnaud
Scénographie : Mathieu Lorry-Dupuy
Lumière : Dominique Bruguière assistée de Nicolas Faucheux
Musique : Alexandre Meyer
Costumes : Anaïs Romand, assistée de Anne Blanchard
Perruques et maquillage : Cécile Kretschmar
Construction décor : Pierre-Alexandre Siméon, Clovis Seguin et Stephane Métais
Régie générale : Brice Trinel
Régie costumes : Odile Cretault
Régie son : Matthieu Villoteau et Maël Fusillier
Régie lumière : Jérôme Léger.
Dates et lieux des représentations:
- Les 25 et 26 novembre 2024 au Théâtre Le Cratère - Alès
- Les 29 et 30 novembre 2024 - L’Archipel, Scène Nationale de Perpignan
- Les 3 et 4 décembre 2024 - Théâtre à Pau
- 10 décembre 2024 - Le Théâtre – SN de Saint-Nazaire
- 15 janvier 2025 - L’Odyssée, Scène Conventionnée de Périgueux
Par Sylvie Lefrère - Lagrandeparade.com/ Wajdi Mouawad a quitté la direction du théâtre de la Colline, mais il continue d'habiter le lieu à travers cette nouvelle création " La racine carré du verbe être".
Il nous propose de regarder le monde tous azimuts, de Rome à Beyrouth, de Paris à Montréal, en passant par le Texas. Nous découvrons ces territoires à travers des voix hurlantes, des corps qui souffrent, des êtres qui se déchirent et s'aiment, pour aimer tout simplement.
Dans ce chaos, les paroles fusent, les gestes sont vifs, les portes claquent derrière des pas nerveux. Tout est explosion, des coeurs aux fenêtres. Tout est tension, des corps aux murs.
Nous assistons à l'effondrement de nos systèmes, de nos croyances, de notre humanité.
Wajdi Mouawad, chef d'orchestre de cette trilogie, tient en haleine notre écoute sensible.
La scène prend des formes géométriques. Elle part du simple carré et explore, à travers les différents personnages, des équations pour toucher l'infini des possibles.
Les complexités et les rebondissements des situations triturent nos esprits comme un rubiscube.
Les décors pivotent en rotations fluides. Les comédiennes et les comédiens jouent en choeur choral, virtuoses, ils nous offrent toute leur énergie.
La tête nous tourne dans cette valse des relations et des voyages. Les heures se suivent, un processus de 5 heures, et les spectateurs restent attentifs à cette fresque humaine.
L'art de cette pièce est de nous nourrir, sans nous épuiser; de nous embarquer, sans nous faire chavirer.
De l'adversité s'exprimera le renouveau.
La racine carré du verbe nous en a fait voir de toutes les couleurs, pour ne garder que le vert en mémoire, couleur de l'espoir.
Racine carrée du verbe être
Texte et mise en scène : Wajdi Mouawad
Avec Maïté Bufala, Madalina Constantin, Jade Fortineau, Jérémie Galiana, Delphine Gilquin, Julie Julien, Jérôme Kircher, Norah Krief, Maxime Le Gac Olanié, Wajdi Mouawad, Lucile Roche et Anna Sanchez en alternance, Nathanaël Rutter, Richard Thériault, Raphael Weinstock
et les enfants en alternance : Colin Jolivet Morfin, Meaulnes Lacoste, Théodore Levesque, Balthazar Mas-Baglione, Ulysse Mouawad, Adrien Raynal, Noham Touhtouh
Assistanat à la mise en scène : Cyril Anrep et Valérie Nègre
Dramaturgie : Charlotte Farcet et Stéphanie Jasmin
Scénographie : Emmanuel Clolus
Lumières : Éric Champoux
Costumes : Emmanuelle Thomas assistée de Léa Delmas
Conception vidéo : Stéphane Pougnand
Dessins : Wajdi Mouawad et Jérémy Secco
Musique : Pawel Mykietyn
Conception sonore : Michel Maurer assisté de Sylvère Caton et Julien Lafosse
Maquillages et coiffures : Cécile Kretschmar
Accompagnement des enfants : Achille di Zazzo
Fabrication des accessoires, costumes et décor ateliers de La Colline
Dates et lieux des représentations :
Du 20 septembre au 22 décembre 2024 au Grand théâtre de La Colline
Par Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ « L’Amérique, l’Amérique, je veux l’avoir et je l’aurai ». On reconnait les génies à leur vision et à leur sens précurseur de l’avenir du monde.
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Par Nelly Bonnet - Lagrandeparade.com/ Au pied du grand écran, se trouve un cabinet de curiosités habité par cinq géniaux musiciens-bruiteurs-comédiens. Un complice régisseur face à la scène complète la troupe de performers multi-talents prête à livrer la plus Hollywoodienne des interprétations citoyennes au cœur même d’un véritable blockbuster.
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Par Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Guy de Maupassant écrit Le Horla en 1886-1887, six ans avant sa mort. Il souffre depuis de nombreuses années de syphilis, maladie dérivant vers la folie.
Par Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Tirée d’Il était un piano noir, Barbara, mémoires interrompus, retrace la vie mouvementée de la chanteuse, avant la notoriété et la gloire.
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Par Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Où le bruit et la fureur d’une révolution politique et sociale avortée se combinent avec le système désordonné du changement climatique.
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Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Sur la scène devant un rideau de fer, un homme assis sur une chaise. Dans le public, une voix s’élève. Pendant une heure, l’interrogateur va soumettre à la question l’homme assis. L’interroger sur sa femme, elle qui a tué la cousine sourde et muette qui servait, dans la maison, de femme à tout faire.
Par Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Frida ou l’épopée d’une artiste majeure, libre et passionnée, dans un siècle en tumulte.
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Par Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ Inspiré d’un fait divers qui s’est déroulé aux Etats-Unis, « ADN » mêle fiction et réalité et apporte une dimension de thriller peu fréquente au théâtre.
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