Par Félix Brun - Lagrandeparade.com/ Gauthier est professeur d’anglais dans un collège en Bretagne. Depuis cinq ans sa vie est limpide et sans nuages avec Katel journaliste free-lance et Janek le fils de cette dernière…et puis tout va basculer quand Katel disparaît mystérieusement et ne donne plus de nouvelles… ! Qui est vraiment Katel ? Janek est-il son véritable enfant ? Pourquoi une capitaine de police convoque Gauthier dans un commissariat parisien ? Quelle relation entre Katel et un inspecteur de la sécurité intérieure assassiné ? Pourquoi… ? Pourquoi… ? Pourquoi… ?
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / C’est noir, terrifiant, beau, haletant… En ces temps de vacances estivales, sans modération, c’est permis !on consomme et savoure le roman policier. Avec, c’est cadeau, une sélection de cinq livres. Cinq polars indispensables…
Par Catherine Verne - Lagrandeparade.com/ Où l’on apprend que la Norvège n’est peut-être pas la destination estivale de tout repos qu’on se plairait à fantasmer. Pour commencer, pas si facile d’y dénicher un taxi une fois débarqué.
Par Catherine Verne - Lagrandeparade.com/ Le maître du thriller français nous propose cet été une incursion dans une communauté émanant du schisme chrétien du XVIè siècle. Rien de plus rafraîchissant après les affres du confinement, que d’aller battre la campagne alsacienne pour taquiner le tablier anabaptiste.
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Dans une première vie, il fit carrière dans les douanes. Sur le tard, il est venu à l’écriture- concevant ses livres comme des plats qu’il a envie de manger. Bernard Minier, 59 ans, né à Béziers et grandi dans le Sud-Ouest, offre son 8ème roman, simplement titré « La Vallée ». Un menu de choix pour un thriller bien saignant avec des meurtres d’une rare cruauté. Et l’occasion de retrouver pour la sixième fois, dans ce livre, Martin Servaz, un commandant de police du SRPJ de Toulouse- en quelque sorte le Maigret de Minier, un peu cabossé par la vie et un brin misanthrope, qu’on avait découvert en 2011 dans « Glacé », tenu par le « Sunday Times » londonien pour l’un des 100 meilleurs polars parus depuis 1945 et adapté en une série télé avec Charles Berling dans le rôle du commandant…
Par Delphine Caudal - Lagrandeparade.com/ « Quand ma demi-sœur, Jenny, est morte assassinée, l’affaire a fait la une de tous les médias -les médias nationaux, pas juste le petit journal du coin qui noircissait ses pages avec des caractères ridiculement gros- ». « A mes yeux, elle n’était que l’incarnation de ce que mon père aurait voulu que je sois, et donc mon ennemie naturelle. Peut-être qu’il n’était pas trop tard pour apprendre à la connaître. Il fallait bien que quelqu’un le fasse ».
Par Delphine Caudal - Lagrandeparade.com/ « Un toit, un lit, un emploi à vie ». C’est ce qu’on pourrait appeler une offre alléchante…
Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/ Dominique Sylvain est décidément étonnante. On dirait qu'elle s'échine à changer de style et d'univers à chaque nouveau polar, au lieu de tracer le même sillon, comme de nombre de ses homologues, auteurs de romans noirs qui, une fois qu'ils pensent avoir trouvé le bon filon (celui qui fait vendre), écrivent toujours le même livre, formaté, « markété » pour un public paresseux.
Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/ Comme la plupart des journalistes, les flics ont dû déménager hors du centre de Paris (et du mythique 36, quai des Orfèvres) mais les traditions perdurent. La nouvelle cuvée prix du Quai des orfèvres 2020, comme le Beaujolais nouveau, se laisse lire, à défaut de se boire comme un vieux sky, 30 ans d'âge, à la Chandler (on y revient plus loin). Les cicatrices de la nuit, d'Alexandre Galien, est un polar efficace et surtout réaliste.
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Tout simplement, une marque de fabrique. Il balance sa grande carcasse (1,90 m sous la toise), et c’est parti pour le show. Un show signé James Ellroy, 71 ans et considéré comme le « maître du polar » américain contemporain. Dans une émission littéraire à la télé, il n’hésite pas faire le cri du chien, lui qui s’est surnommé « demon dog ». Ces temps-ci, il est en tournée en France. Et il fait l’actu avec quelques formules bien senties : « Le lynchage, c’est ma came », « Que ça vous plaise ou non, je vis dans le passé » ou encore « Je suis convaincu que j’irai au paradis ». On ne sait toujours pas s’il joue un personnage ou s’il savoure la provocation…
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Voici un écrivain voyageur. Un jour en Argentine ou au Chili, l’autre en Afrique du sud, un autre encore en Nouvelle-Zélande. A 52 ans, Caryl Férey est une des stars du thriller, du roman noir « à la française ». Sans bruit et encore moins de tapage médiatique, il enchaîne les best-sellers et s’est imposé comme un des « poids lourds » de la Série Noire. Il glisse souvent qu’il a « le polar dans le sang »- ce qu’il a prouvé, dans le passé, avec « Mapuche », « Condor », « Haka », « Utu » ou encore « Zulu ». Ce qu’il confirme avec sa nouvelle production, tout simplement titré « Paz »- ce qui signifie, en français, paix… et cette fois, Férey emmène le lecteur en Colombie- résumé par l’éditeur sur le bandeau qui ceint le livre : « Un père, deux fils, une tragédie familiale sur fond de guérilla colombienne ». Comme pour ses précédents textes, ses précédentes aventures noires, le romancier a passé de longs mois en immersion dans le décor qu’il évoque dans « Paz »…
Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/ Oubliez l'image du détective Hard-boiled (dur-à-cuire), macho, blueseux, alcoolique... L'israélien Oded Héfer est tout le contraire : les gueules de bois le rendent malades, il fréquente les bars gays, a horreur de la violence (sauf consentie...), trésaille quand son smartphone vibre, parle de lui au féminin, et passe son temps à plaisanter, même quand ça chauffe pour son matricule. Secret de Polichinelle, de Yonatan Sagiv, c'est un peu Priscilla folle du désert en Israël. Columbo en mode LGBT (cet anti-héros roule en vieille bagnole, qu'il compare à une « pouliche » et ne cesse de se référer à son grand ami Ofer, qui fait office de « ma femme »...).
Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/ Née en 1985, Lorraine Letournel Laloue est une passionnée de littérature policière qui a fondé, en 2015 le club « Les Mordus de lecture », qui compte plus de 30 000 membres. HS 7244 est son premier roman. Gérard Collard, libraire et critique littéraire, en ayant dit le plus grand bien, nous nous sommes rués dessus. La thématique est excellente. Voici le pitch vendu par l'éditeur (Belfond) : « Marius se réveille dans cette cellule froide et puante, ses derniers souvenirs sont ceux d'une soirée arrosée et joyeuse avec Camille, l'amour de sa vie. Après Saint-Pétersbourg et Moscou, leur voyage à travers la Russie les avait conduits dans un petit bar de Grozny (capitale de la Tchétchénie). Des vacances en amoureux, cela avait commencé comme ça... Aujourd'hui, Marius est enfermé, il a tout perdu, à commencer par ses droits. Il entend des hurlements, des hommes sont torturés. On les accuse d'être malades, contagieux. Dans cette prison non officielle, ils font l'objet d'expériences médicales, menées par ceux qui veulent trouver l'origine de leur mal et surtout un remède à ce fléau. L'histoire de Marius, inspirée d'un drame qui a choqué le monde entier... ».
Par Valérie Morice - Lagrandeparade.com/ En 2003, l’Europe doit faire face à une vague de chaleur exceptionnelle, plus particulièrement accentuée entre juin et août. Un été meurtrier. 70 000 morts sont recensés sur toute l’Europe, dont 20 000 dans l’hexagone. Les chambres mortuaires ayant été rapidement saturées, un hangar réfrigéré du marché de Rungis est réquisitionné et mis à disposition pour y entreposer les dépouilles.
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