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QuichottePar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / D’emblĂ©e, on lit : « Monsieur, je vous le dis tout net, je ne suis pas d’humeur Ă  rire, et les façons dont vous traitez votre Quichotte ne sont pas de mon goĂ»t. Vous prĂ©tendez que son cerveau, tout empli des fadaises qu’il a lues dans des livres et qu’il croit vĂ©ridiques, l’amène Ă  commettre des actes insensĂ©s… Â»

Lire la suite : « Rêver debout » de Lydie Salvayre : lettres à Cervantes

nouveau romanPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / ThĂ©oricien de la littĂ©rature, Jean Ricardou (1932- 2016) assurait que « le roman n’est plus l’écriture d’une aventure, mais l’aventure d’une Ă©criture Â».

Lire la suite : « Nouveau Roman » : 243 lettres pour 53 ans d’une histoire littéraire

imagePar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Avant de prendre la direction de l’Inde, il y a les mots d’Albert Camus : « Ne marche pas devant moi, je ne te suivrai peut-ĂŞtre pas. Ne marche pas derrière moi, je ne te guiderai peut-ĂŞtre pas. Marche Ă  cĂ´tĂ© de moi et sois simplement mon amie Â», et ceux de Rabindranath Tagor : « Le malheur est grand mais l’homme est plus grand que le malheur Â».

Lire la suite : « Le cerf-volant » de Laetitia Colombani : l’ode joyeuse à la féminité

cherche midiPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Elle se prĂ©nomme Justine, elle a 20 ans. Elle raconte. Ça commence par un enterrement. Celui de son père, « un rite glauque mais banal ! Sauf pour moi. C’était mon premier enterrement. Quelques pelletĂ©es de terre sur des rĂŞves avortĂ©es, des larmes ravalĂ©es, des sentiments bafouĂ©s. La vie de mon père ! Â» DĂ©jĂ  remarquĂ©e en 2018 pour « Cinq Ă  sept Â», Olivia Koudrine nous revient avec « L’Homme battu Â», un texte placĂ© sous des mots d’Emil Cioran (« Nous ne pardonnons qu’aux enfants et aux fous : les autres, s’ils ont l’audace de les imiter, s’en repentiront tĂ´t ou tard Â»), oĂą l’intime fait compagnie avec la fĂ©rocitĂ©, mĂŞme la perfidie et aussi, parfois, une pointe d’humour.

Lire la suite : « L’Homme battu » d’Olivia Koudrine : histoires d’une famille ordinaire…

gallayPar Serge Bressan - Lagrandeparade.com/ La bande des cinq, version Claudie Gallay. Romancière de la sensibilitĂ© et de la sobriĂ©tĂ©, elle avait bousculĂ© en 2008 les ventes avec « Les DĂ©ferlantes Â», son sixième roman vendu alors Ă  300 000 exemplaires, rĂ©compensĂ© par une vingtaine de prix littĂ©raires et adaptĂ© pour la tĂ©lĂ©vision par ElĂ©onore Faucher.

Lire la suite : « Avant l’été » : le club des cinq, version Claudie Gallay

PaArgentiner FĂ©lix Brun - Lagrandeparade.com/ Paris, fĂ©vrier 2017, Arnaud ShimansKy assiste aux obsèques de son grand-père Simon. Arnaud est flic Ă  la criminelle, mais suite Ă  une bavure il est mis Ă  pied et attend la sanction…

Lire la suite : Les loups-garous d’Argentine : un premier roman très abouti de Jérémy Wulc

les rĂ©veilleurs du soleilPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Une confidence sur les rĂ©seaux sociaux : « Je n’arrive pas y croire. Je pense Ă  mes parents venus du Mali. A ma famille. Aux amis… Â» A 46 ans, nĂ© Abdoulaye Diarra le 4 aoĂ»t 1974 Ă  SĂ©gou (Mali), Oxmo Puccino est de retour en librairies avec un quatrième livre : après un recueil de tweets (« 140 piles Â»), de poĂ©sie (« Mines de cristal Â») et de souvenirs d’une tournĂ©e (« Au fil du chant Â»), il nous arrive avec son premier roman, aussi dĂ©licieux que lumineux et enthousiasmant : « Les RĂ©veilleurs de soleil Â». Un roman qui a sĂ©duit son Ă©diteur parisien puisque le livre bĂ©nĂ©ficie d’un premier tirage de 55 000 exemplaires…

Lire la suite : « Les Réveilleurs de soleil » d’Oxmo Puccino : après le rap, un premier roman délicieux et lumineux

baisersPar FĂ©lix Brun - Lagrandeparade.com/ Jean est Ă©crivain ; le polar a fait son succès chez un Ă©diteur atypique. Il est en recherche de nouveautĂ©, d’inspiration et imagine des « pĂ©rĂ©grinations baisuelles Â», raconter les Ă©motions des baisers donnĂ©s, reçus, volĂ©s, rendus comme celui de sa rencontre avec Tosca : "Elle a appuyĂ© ses lèvres sur les miennes, m’a fouillĂ©. Elle Ă©tait le vent. Elle bataillait. Sa langue s’enfouissait, ma langue se dĂ©liait, accueillait."

Lire la suite : Baisers de collection : un roman éblouissant et lumineux d’Annabelle Combes

ohadPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Chaque annĂ©e, après la fonte des neiges, toujours le mĂŞme spectacle sur les flancs de l’Himalaya. A plus de 4 000 mètres d’altitude, des cueilleurs penchĂ©s vers le sol.

Lire la suite : « Yarshagumba » de Constantin Simon : champignon magique…

un chant pour les disparusPar FĂ©lix Brun - Lagrandeparade.com/ En 2006, Yara, la Teta (la grand-mère) d’Amin meurt : les souvenirs remontent, ressurgissent…

Lire la suite : Un chant pour les disparus : un roman lumineux de Pierre Jarawan

blondelPar FĂ©lix Brun - Lagrandeparade.com/ A la fin des annĂ©es 80, les occupants des logements de fonction du groupe scolaire Denis Diderot ont beaucoup changĂ©. Certains sont en fin de carrière, Ă  un stade de l’existence oĂą leur progĂ©niture s’engage dans la vie active, alors qu’eux-mĂŞmes s’interrogent sur leur parcours professionnel, sentimental, existentiel… 

Lire la suite : Un si petit monde : une fresque sociétale remarquable de Jean-Philippe Blondel

TerebenthinePar Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ Térébenthine est une plongée dans les abysses du monde artistique, les abîmes psychologiques des aspirants peintres et les bas-fonds de la formation des Beaux-Arts.

Lire la suite : Térébenthine : un appel à la désobéissance, à la poursuite de sa propre identité

seuilPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Il sĂ©duit autant qu’il irrite. A 28 ans, nĂ© Eddy Bellegueule le 30 octobre 1992 Ă  Abbeville (Somme), Edouard est, avec Michel Houellebecq, l’écrivain français le plus courtisĂ© dans le monde entier. Vedette littĂ©raire en Allemagne, il donne cours et confĂ©rences, entre autres, aux Etats-Unis et en Suisse. On l’a dĂ©couvert en 2014 avec « En finir avec Eddy Bellegueule Â», on l’a retrouvĂ© en 2016 avec « Histoire de la violence Â» puis en 2018 avec « Qui a tuĂ© mon père Â» ; il nous revient en ce printemps 2021 avec « Combats et mĂ©tamorphoses d’une femme Â», un livre bref (Ă  peine 120 pages) encore plus politique que littĂ©raire, sur le thème « tout sur ma mère Â» qui lui vaut, de la part d’un critique-Ă©crivain parisien, deux surnoms peu amènes : le PDG de la « victim company Â» et le stakhanoviste du lamento- voilĂ  le jeune homme habillĂ© pour plusieurs saisons ! N’empĂŞche, il existe bien dans le monde littĂ©raire et intellectuel francophone un « phĂ©nomène Edouard Louis Â», confirmĂ© par l’accueil et les critiques (bonnes, nombreuses, et mauvaises, quelques-unes) accordĂ©s Ă  « Combats et mĂ©tamorphoses d’une femme Â»â€¦

Lire la suite : « Combats et métamorphoses d’une femme » d’Edouard Louis : au nom de la mère…

gallimardPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / L’un, professeur au Collège de France, dit : « Ces pages sont bouleversantes Â». L’autre, Ă©galement professeur, confie : « C'est comme quand on dĂ©couvre une crypte sous une Ă©glise mĂ©rovingienne Â»â€¦ D’autres, Ă©minents spĂ©cialistes de la chose Ă©crite, complètent en assurant qu’on retrouve lĂ  le temps perdu.

Lire la suite : Les soixante-quinze feuillets : Marcel Proust retrouvé…

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