Par Virgine Gossart - Lagrandeparade.fr/ A l'occasion de la sortie d'un premier album à la fois stylé et intimiste, prévue au printemps 2016, nous avons eu envie d'en connaître un peu plus sur Nicolas Michaux...
Par Virginie Gossart - Lagrandeparade.fr/ Après leur album de reprises "The Fugitives" (2013), belle incursion chez les pionniers du folk américain, le quatrième et dernier opus des sept membres de Moriarty semble reprendre sa route là où les avait menés "The Missing Room" en 2011.
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.fr/ Ils sont 4 sur scène: musiciens et vocalistes d'Ukraine libre, comme ils aiment à se présenter. Alternant chants lancinants et incantatoires, où les cordes vocales s'entrelacent et fusionnent, avec des morceaux plus pêchus dans lesquels les percussions instaurent un rythme entraînant, Marko, Olena, Iryna et Nina nous invitent à un voyage extraordinaire et imaginaire, un peu comme si l'on montait sur un remorqueur dans " La vie est un miracle" d'Emir Kusturica.
Par Virginie Gossart - Lagrandeparade.fr/ Alors qu'un coffret joliment intitulé "Mouvement perpétuel" sort pile poil pour les fêtes de Noël et retrace 25 ans d'une carrière aussi riche qu'atypique, Arthur H nous fait le plaisir de débarquer à la Paloma en ce jeudi 10 décembre 2015 et contribue avec brio à lutter contre la morosité ambiante.
Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/ « C'est beau le chant lyrique, c'est tellement beau ! »…"Oui, moi aussi j'adore ça, mais j'y vais jamais, parce que pour entendre du lyrique, il faut payer très cher l'accès à des salles glaciales." Le New Lyrique Boys Band (NLBB) vous prouve le contraire.
Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/ Alors que se profile l'anniversaire du décès de Cesária Évora, la diva pionnière du Cap Vert, disparue le 17 décembre 2011, la jeune garde se révèle. Le 27 novembre dernier au New Morning, célèbre salle de blues-jazz de Paris, Mariana Ramos présentait des extraits de son nouvel album « Quinta ».
Par Bruno Paternot - Lagrandeparade.fr/ Le Festival électro Dernier Cri, qui s’est déroulé dans tout le centre ville de Montpellier du 10 au 15 Novembre 2015, est à peine terminé que l’équipe organisatrice démarre déjà la prochaine édition. Il faut espérer qu’elle puisse avoir lieu et que la Ville-Métropole de Montpellier soutiendra cette expérience individuelle pour en faire un rendez-vous des musiques actuelles, à la fois collectif et incontournable. Vendredi 13, quand Paris pleuvait sous le fer, le feu, l’acier, le sang, le Zoo et le PZ étaient pulsés au son de Mr Pink, DJ Marseillais plein de saveurs. Les jeunes étudiants comme les vieux briscards des 90’s se sont laissés enrobés par ses mixs sans excès et bien foutus. Le réveil au sortir des boites de sons n’en fut que plus brutal. Jacqueline Caux était venue présenter deux courts métrages, un sur la techno à Detroit et l’autre sur l’œuvre de Jeff Mills. En quelques phrases, la salle tomba sous le charme de cette petite dame si dynamique et cohérente. Intarissable et pointue, son discours en tant que femme dans cet univers d’homme à apporté un angle pertinent et novateur. Comme souvent, les ainées precurseuses sont aussi les plus jeunes et les plus modernes !
Par Virginie Gossart - Lagrandeparade.fr/ Dans le cadre de la soirée "This is not a love night" (sorte d'avant-goût du festival de musique indé "This is not a love song", que la belle Paloma nîmoise a le bon goût d'organiser depuis trois ans en étroite collaboration avec l'asso Come on people), nous avons la chance de voir jouer les Américains de Deerhunter, groupe aussi lumineux qu'imprévisible. Et nous comprenons d'emblée qu'avec Bradford Cox, leader charismatique et despotique, au vécu et au physique hors norme, assez brillant pour composer le superbe album Fading Frontier (qu'on écoute en boucle depuis une semaine comme tout chroniqueur qui se respecte), mais assez déjanté et povocateur pour faire foirer toutes les interviews qu'il donne, rien n'est gagné d'avance. Nous nous souvenons de l'entretien désastreux que Bradford Cox a eu avec un journaliste des Inrocks quelques mois plus tôt (et du joli surnom de "tête de lard" dont le journaliste excédé l'a alors affublé) et nous sentons confusément que ce soir, nous pouvons avoir droit au meilleur comme au pire. Et bien, pour être honnête... nous avons eu les deux.
Par Virginie Gossart - Lagrandeparade.fr/ Après les avoir vus en concert au festival d'Aluna au mois de juin 2015 et dans l'attente de la sortie de leur nouvel album, "Stachelight", prévu pour le mois de janvier 2016, nous avions envie d'en savoir un peu plus sur le parcours impressionnant et les personnalités contrastées des six trublions aixois qui composent le groupe Deluxe. Et on peut dire qu'on n'a pas été déçu!
Par Bruno Paternot - Lagrandeparade.fr/ Le groupe Montpelliérain Irie Jahzz a rempli la salle et séduit le public du Jam pour Halloween. Ce " backing band " de reggae jazz est composé d'un batteur, un bassiste, un guitariste, un pianiste, deux saxophonistes (alto et ténor), d'un trompettiste et d'un tromboniste. Cette grosse formation - on est en effet loin du trio régulier que la crise impose comme set « important » face au duo ou au solo - explore un reggae aux accents jazz qui se nourrit de diverses influences, des Wailers à Leroy Horsemouth Wallace.
Par Bruno Paternot - Lagrandeparade.fr/ Figure majeure de la musique électro française, Pascal Maurin fait partie des créateurs de Tohu Bohu, branche électro du festival de Montpellier et de Radio France. Outre cette programmation estivale depuis 2001, il mixe et propose cette année le Festival Dernier Cri à Montpellier. Accompagné par Luca Ruiz et Edith Rolland, le trio souhaite impulser un autre souffle aux nuits montpelliéraines. Rendez-vous du 10 au 15 Novembre 2015 pour voir, et surtout entendre, de quoi il s'agit.
Par Bruno Paternot - Lagrandeparade.fr/ Le duo montpelliérain se présentait sur la scène du Jam dans le cadre des Internationales de la Guitare. Le groupe sans guitare mais plein de cordes fait marcher la vibration à foison. Connie and Blyde, ça rappe en velours, ça écorche avec la main pleine de caresses, ça soleil qui gratte. Caroline Sentis chante, scat, fait éructer sa voix de cristal sur les mélodies de Bruno Ducret, qui explose de virilité derrière son violoncelle. Le premier album sort bientôt et le public exigeant des habitués du Jam fut conquis par la suave rudesse du duo rayonnant sous la lune.
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