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EdmondPar Philippe Delhumeau - Lagrandeparade.fr/ Mettre en scène une pièce de théâtre à l’envers en racontant comment l’auteur s’y est pris pour l’écrire, qui aurait osé s’aventurer dans ce pari insensé ? Qui plus est programmée dans l’un des fleurons de la scène parisienne, le Théâtre du Palais Royal! L’idée ne peut germer que dans la tête d’un artiste à la fois rêveur et créateur, pudique et épanoui.

Lire la suite : Théâtre : Edmond retrouve Rostand sous la plume d’Alexis Michalik

BrasseurPar Philippe Delhumeau - Lagrandeparade.fr/ Paris, fin d’été 2016. Le Théâtre du Petit Saint-Martin accueille la dernière création de Daniel Colas, Brasseur et Les Enfants du Paradis, interprété par Alexandre Brasseur, assisté de Cléo Sénia.

Lire la suite : Brasseur et Les Enfants du Paradis : un hymne vibrant au film culte de Marcel Carné

RacinePar Philippe Delhumeau - Lagrandeparade.fr/ Racine La Fontaine, L'adieu à la scène : un texte de Jacques Forgeas qui aiguise le secret en confidence et le vœu en désavoeu. Quel n'est pas plus bel écrin d'histoire et d'architecture du XVIIIème siècle, côté Seine, pour recevoir la nouvelle proposition d'écriture de l'auteur éponyme que le Théâtre Le Ranelagh?

Lire la suite : Racine La Fontaine, L'adieu à la scène : le secret en confidence et le vœu en désavoeu

ClassePar Alexia Becker - Lagrandeparade.fr/ On devine aisément que derrière « Classe ! » se cache un spectacle conçu pour ne pas être classe. C’est avec une pointe d’inquiétude que nous franchissons la porte de l’Alhambra en espérant que le spectacle ne tombe pas dans la vulgarité gratuite. On vous le dit tout de suite, c’est clairement graveleux, mais qu’est-ce que c’est drôle !

Lire la suite : Giroud & Stotz dans « Classe ! » : un spectacle complet pour un plaisir démultiplié

Quand le diable s'en mêlePar Philippe Delhumeau - Lagrandeparade.fr/ Les histoires de vie maritale de Feydeau sont excessivement drôles et mercantiles. Elles frôlent les limites de la bêtise et de la dérision au sein desquelles s’installent des personnages tout aussi loufoques et instables. Feydeau maniait la plume avec un équilibre extraordinaire comme l’escrimeur brette le fer. Rires et quiproquos vont de pair quand les couples se crêpent le chignon pour des soupçons de coucheries inavouées et des mélodrames conjugaux qui virent en délicieuses folies. Feydeau, c’est l’incarnation de l’épique et de l’absurde, l’icône de la virtuosité, le génie du dérèglement conjugal. Un régal de théâtre qui n’a de cesse d’enchanter un public avide de péripéties.

Lire la suite : Quand le diable s’en mêle : Quand Didier Bezace se mêle de Feydeau, l’amour s’emmêle entre...

Les élansPar Philippe Delhumeau - Lagrandeparade.fr/ Qu’il est bon de rire de l’absurde en cette période de rentrée marquée par la fin des vacances et le retour des politiques remontés à clef !  A peine installé sur les banquettes du théâtre noir du Lucernaire, la sinistrose s’est évaporée comme les bulles d’un mauvais champagne.

Lire la suite : Les Elans ne sont pas toujours des animaux faciles : une comédie désopilante à souhait servie par...

PyrénéesPar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/  Comme tout le monde, Julien Rochefort, qui dit/joue « Pyrénées ou le voyage de l’été 1843 », a découvert Victor Hugo à l’école. Mais « le vrai choc », confesse-t-il, a eu lieu plus tard, vers 25 ans, en lisant « La Légende des siècles » ». À tel point que, pendant les cinq années qui ont suivi, il ne lit que du Hugo, se transformant petit à petit, à son insu, en « hugolâtre », dixit.

Lire la suite : Pyrénées ou le voyage de l’été 1843 : le jour où Hugo appris la mort de sa fille Léopoldine

Ivan le terriblePar Mathieu Cartailler - Lagrandeparade.fr/ Quand nous sommes sortis de ce spectacle, à Aurillac il y a (déjà) quinze jours, nous avions envie d’en parler à tout le monde. On a commencé par les premiers passants dans la rue. Ils nous ont parlé du leur en réponse, nous ne les écoutions déjà plus. Nous savions (d’expérience) que nous avions vu un spectacle rare. Par où commencer, tant il est difficile de raconter ce que l’on a trop aimé? Peut-être par nos premiers doutes: amené à ce spectacle (excentré) par un quidam égaré, un sujet historique exotique et étranger au public comme à la compagnie. Un texte sans auteur...et deux heures de spectacle! ...A Aurillac...

Lire la suite : Ivan le Terrible : le Théâtre du Rugissant orchestre avec brio la cruauté médiévale et la bêtise...

Corps de mon père OnfrayPar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/  Et voilà que le public sent l’odeur du pain qui cuisait dans le four, sur scène. Puis l’interprète, Bernard Saint-Omer, propose de le déguster. Il donne une corbeille au premier rang qui va circuler de spectateur en spectateur. L’un d’eux va même partir avec le reste du pain, encore chaud, à la fin du spectacle. Cette courte scène donne une idée du spectacle mis en scène par le même Bernard Saint-Omer, autour d’un texte du philosophe Michel Onfray consacré à son père dans le "Journal hédoniste, tome 1, « Le désir d’être un volcan »", paru en 1996. C’est une mise en scène de « partageux » d’après un texte écrit par un anarchiste convaincu, qui s’est promis de défendre les opprimés du lumpenprolétariat, comme on disait avant…

Lire la suite : Rhizomes Compagnie : A la gloire du père de Michel Onfray

PacamamboPar Philippe Delhumeau - Lagrandeparade.fr/ La perte d’un être cher réveille des sentiments d’amour insoupçonné, l’envie de lui dire des choses jamais révélées, de rester à ses côtés pour un temps indéfini. Les souvenirs élèvent une stèle de la mémoire fleurie des p’tits moments de bonheur arrosé des larmes de peur et d’incertitude. L’enfance peine à comprendre la mécanique de la vie et de la mort. Des éléments indissociables de l’existence qui touchent le commun des hommes et ce, quel que soit la couleur de leur peau et de leur origine. L’homme, sa vie durant, suivra nombre de chemins tracés entre ombre et lumière. Jusqu’au jour du dernier souffle où son corps deviendra aussi froid que le marbre et son âme s’envolera vers un ailleurs insondable.

Lire la suite : Pacamambo : une histoire merveilleuse sur un pays imaginaire pour les petits et les grands

Je change de file Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/  C’est Isabelle Nanty qui, détectant un talent certain pour la comédie chez la journaliste Sarah Doraghi, l'inscrit d'autorité au Cours Florent, avant de lui annoncer : « Tu as deux mois pour écrire un spectacle : j'ai déjà réservé la salle. » Cette salle, c’est le Lucernaire où elle s’est lancée avec courage dans la cage aux fauves, depuis le 10 juin jusqu’au 27 août. Et le moins que l’on puisse dire c’est que c’est une réussite : la salle est comble.

Lire la suite : Je change de file : la lettre persane de Sarah Doraghi

RoumanoffPar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/ Autant dire les choses, Anne Roumanoff n’a pas « la carte », comme on dit. Elle ne bénéficie pas d’une bonne réputation auprès des « intellos », en gros, que d’aucuns résumeraient bêtement au terme « bobo ». C’est pourtant une ex-grosse tête (façon de parler) qui a fait Science-Po, dans la promotion de Beigbeder… et de Jean-François Copé. Vous me direz que ça n’arrange rien ! Tout ça pour dire qu’elle est une des rares humoristes à oser s’attaquer, de manière plutôt fine, à l’extrémisme de droite (suivez mon regard…) en campant une blonde qui vient d’adhérer (au Parti que vous savez…) sans trop savoir pourquoi, et devient conseillère municipale avant de finalement se marier avec un Tunisien qu’elle fait passer pour un espagnol auprès de sa famille.

Lire la suite : Aimons-nous les uns les autres, et plus encore : Anne Roumanoff assume tout

Le marchand de VenisePar Julie Cadilhac - Lagrandeparade.fr/ Venise, 1596. Les juifs sont reclus dans le Ghetto. Antonio, riche marchand de la cité, contracte un prêt de trois mille ducats auprès de l'usurier juif Shylock afin de rendre service à son ami Bassanio qui souhaite conquérir le coeur de la belle et riche Portia. Sur place ce dernier doit se soumettre à une épreuve imaginée par le père défunt de la demoiselle : choisir entre trois coffrets, d'or, d'argent et de plomb lequel lui ouvrira les faveurs de la belle. Lorsqu'il la réussit, il apprend malheureusement qu'Antonio ne peut rembourser Shylock qui réclame, comme stipulé dans le contrat, une livre de la propre chair de son débiteur. La cruauté et l'acharnement de l'usurier vont alors se heurter à l'habileté de Portia qui se déguise en avocat pour venir en aide à son amant et Antonio à leur insu...

Lire la suite : Le marchand de Venise : une fantaisie shakespearienne pétillante de la compagnie 13

AdditionPar Xavier Paquet - Lagrandeparade.fr/ « L’amitié est constante en toute chose, exceptée dans les intérêts et les affaires d’amour » disait William Shakespeare. C’est ce précepte qui sert de support à « Addition », la nouvelle pièce de Clément Michel (auteur d'"Une semaine…pas plus" et "Le Carton").

Lire la suite : L'addition : une comédie sur l'amitié riche de rebondissements et de rires

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