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rushdiePar Serge Bressan - Lagrandeparade.com/ Dire et écrire, encore et encore, encore et toujours : « Les mots sont les seuls vainqueurs. C’est ce qui rend les écrivains dangereux pour les pouvoirs politiques ».

Lire la suite : « La Cité de la victoire » : Salman Rushdie, maître conteur…

BinniePar Serge Bressan - Lagrandeparade.com / En 2013, un petit éditeur militant de Brooklyn publiait « Nevada ».

Lire la suite : « Nevada » d’Imogen Binnie : le roman-culte de la transition

DiazPar Serge Bressan -  Lagrandeparade.com / Né en Argentine en 1973, il a vécu en Suède et à Londres, avant de s’installer à New York.

Lire la suite : « Trust » de Hernan Diaz : le coup de cœur pour la rentrée !

dette d'oxygènePar Félix Brun - Lagrandeparade.com/ Lenny et Walter ont mené leur existence autour de l’alpinisme depuis leur adolescence jusqu’aux sommets les plus hauts de la planète, les plus difficiles à gravir, dans la complicité de leur amitié indéfectible, la douleur physique, le froid glacial, la roche imprévisible et tranchante…

Lire la suite : Dette d’oxygène : une vie accrochée aux nuages et à l’amitié 

rrrPar Félix Brun - Lagrandeparade.com/ Les années 60. La Bulgarie sous régime soviétique. La vie d’une jeune enfant à la campagne chez sa grand-mère : "L’été. Les vacances. A la radio, la guerre froide. Je n’arrive pas à faire la grasse matinée : dès cinq heures, le haut-parleur tonitruant de la place du village déverse chants populaires, nouvelles du Front patriotique, de la situation internationale, de la coopérative. Et toujours cette formule : la « guerre froide ». Ou même tout récemment " La guerre froide est entrée dans sa phase décisive. " Quel âge j’ai ? Dix ou douze ans. » 

Lire la suite : Sept kilos de camomille  : un roman mélancolique et poétique dans la Bulgarie soviétique

douglas kennedyPar Serge Bressan - Lagrandeparade.com / Ce pourrait être la nuit américaine. Ou encore des citoyen.ne.s pris.e.s entre deux mondes totalitaires. Le romancier états-unien Douglas Kennedy, 68 ans et grand cinéphile, n’oublie jamais qu’il a été, dans une vie lointaine, journaliste- il en a gardé un sens aigu de l’observation et du détail, et aussi un grand intérêt pour la vie qui va et les grands mouvements sociétaux. Auteur à (grand) succès en Europe mais longtemps ignoré dans son pays natal, il se glisse régulièrement jusqu’à nous- ainsi, en ce printemps-été, il nous arrive avec son 26ème roman, une cinglante dystopie joliment titrée « Et c’est ainsi que nous vivrons »…

Lire la suite : « Et c’est ainsi que nous vivrons » : l’Amérique en 2045, version Douglas Kennedy…

potterPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Un voyage en train entre Londres et Manchester, un jour de 1990. Parmi les passagers, une jeune femme de 25 ans. Elle écrit. Son manuscrit a été envoyé à diverses maisons d’éditions. Onze envois, autant de refus… et un appel de l’éditeur Bloomsbury qui envisage le lancement d’un département jeunesse.

Lire la suite : Harry Potter, 25 ans : joyeux anniversaire !

watersPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Il a l’art de la formule : « Tous veulent être des outsiders, alors je suis devenu un insider ! »

Lire la suite : « Sale Menteuse » de John Waters : vive la littérature « feel bad » !

grandeurPar Félix Brun- Lagrandeparade.com/ « Je crains que le verbe convenant le mieux à la narration n’est pas écrire un livre mais le commettre comme un délit. »

Lire la suite : « Grandeur nature » : un recueil lumineux, émouvant et intimiste d’Erri De Luca

schlinkPar Serge Bressan - Lagrandeparade.com / D’Ouest en Est, un voyage sur terre et dans le temps… Un homme en recherche d’une petite-fille. Celle que sa femme a mise au monde dans une autre vie, dans un autre monde. En quelques mots, le résumé de « La petite-fille », le nouveau roman de l’écrivain allemand Bernhard Schlink, 78 ans, ancien professeur de droit, juriste et auteur, voilà vingt-cinq ans, d’un texte vertigineux : « Le Liseur »… Une certitude en refermant « La petite-fille », Schlink demeure un des grands auteurs européens contemporains ; un auteur essentiel, aussi.

Lire la suite : « La petite-fille » de Bernhard Schlink : d’une Allemagne l’autre…

le passager Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Ambiance et décor : « Le concerto pour violon n°2 de Mozart résonnait dans le magnéto. Il faisait six degrés et il était trois heures dix-sept du matin. L’assistant en appui sur les coudes et casque sur les oreilles observait l’eau noire en dessous d’eux. De temps en temps la mer s’embrasait d’une lueur de soufre à quinze mètres de profondeur… »

Lire la suite : « Le Passager » de Cormac McCarthy : à nouveau, sur la route…

buarquePar Serge Bressan - Lagrandeparade.com / Il s’appelle Manuel Duarte, vit à Leblon- le quartier huppé de Rio de Janeiro, il est dans la soixantaine et écrivain en panne d’inspiration.

Lire la suite : « Ces gens-là » de Chico Buarque : écrivain et Brésil à la dérive…

sangPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Certains évoquent des « tueries de masse ». D’autres parlent de « fusillades de masse ». En deux jours en cette fin janvier 2023, les Etats-Unis ont connu l’horreur. D’abord, un homme entre dans une discothèque dans la banlieue de Los Angeles, il tire, bilan : 11 morts, 9 blessés. Quarante-huit heures plus tard, dans des exploitations agricoles de la baie de San Francisco, un autre homme tire : 9 morts. Durant les trois premières semaines de cette année 2023, trente-neuf « fusillades de masse » se sont produites. En moyenne, plus de 130 personnes meurent par balles chaque jour aux Etats-Unis. Face à cette augmentation de la violence armée, aucun Etat n’est épargné. Les Etats-Unis représentent en effet une aberration mondiale en matière d’armes : selon la Small Arms Survey (SAS), le pays recense 120 armes pour 100 habitants. Aucun pays au monde n’en compte autant… et la question surgit : pourquoi les Etats-Unis sont-ils le pays le plus violent du monde occidental ?

Lire la suite : « Pays de sang » de Paul Auster et Spencer Ostrander : autopsie de la violence américaine

tempestPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Glissée dans le présent livre, une petite carte- on y lit : « Jusqu’à ce que l’Amour soit inconditionnel / Le mythe de l’individu / Nous a laissés déconnectés perdus / et pathétiques ».

Lire la suite : « Qu’on leur donne le chaos » de Kae Tempest : avis de tempête poétique

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