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nos vies de consPar Félix Brun - Lagrandeparade.fr/ « En un mot, je vis avec mon temps. Je télédéclare mes impôts, je composte mes billets et mes déchets, je dématérialise mon banquier, je convivialise à la fête des voisins, je snapchate sur mon smartphone…Et souvent aussi, je m’égare dans la jungle de l’absolue modernité. Et ça m’énerve. Â»

Lire la suite : Nos vies de cons de A à Z… : Pascal Fioretto, sniper du prêt-à-penser

CarrèrePar Catherine Verne - Lagrandeparade.fr/ Une trentaine d'articles éclectiques qui recouvrent 25 ans de journalisme d'Emmanuel Carrère. Autant de directions à suivre, ainsi sur les pas de l'écrivain lancé sur la piste de Dracula ou dans une aventureuse interview de Catherine Deneuve, missionné en ex-URSS ou encore à Davos, etc.

Lire la suite : Il est avantageux d’avoir où aller : une plongée dans le foisonnant et érudit univers d'Emmanuel...

six chapeauxPar Catherine Verne - Lagrandeparade.fr/ Dans le langage populaire, l'expression imagée "porter le chapeau" signifie endosser la responsabilité d'une décision. Le présent ouvrage file la métaphore en multipliant les types de chapeau dont se coiffer selon l'auteur pour se garantir de prendre la bonne décision.

Lire la suite : Les six chapeaux de la réflexion : une méthode pertinente et à portée de tous

ToussaintPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Et vive les chinoiseries de l’écrivain belge Jean-Philippe Toussaint ! Avec « Made in China Â», il nous offre un très réussi et curieux objet littéraire, mêlant réalité et fiction, c’est limpide et acidulé… On lit ce qui parait bien plus qu’une envie : « Quand j'écris, je voudrais pouvoir m'abstraire du monde réel pour me fondre dans la fiction Â».

Lire la suite : Jean-Philippe Toussaint : et vive les chinoiseries !

Francis HusterPar Serge Bressan -  Lagrandeparade.fr / D’emblée, on est prévenu. « Je veux dire ma colère devant la brutalité de ce monde, ma hantise devant les tyrannies qui renaissent et ma tristesse devant les beautés détruites Â».

Lire la suite : N’abandonnez jamais, ne renoncez à rien : Francis Huster, entre colère et espoir

bukowskiPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Il n’a jamais fait dans la révérence, le baise-main ou le rond-de-jambe. Avec « Sur l’écriture Â»- une anthologie de lettres écrites rédigées sur près de cinquante ans, nous voilà embarqués, nous lecteurs, dans une formidable plongée dans le quotidien d’une star de la contre-culture : l’Américain Charles Bukowski.

Lire la suite : Sur l’écriture : Charles Bukowski, franchise postale…

Cultiver le bonheurPar Delphine Caudal - Lagrandeparade.fr/ Le bonheur, une question d’attitude ? S’alléger, s’exprimer, être bien dans son corps, se connaître, s’accepter, se lâcher, se faire du bien, se lancer… Et si nous partions à la conquête des simples plaisirs de la vie ? 

Lire la suite : Cultiver le bonheur en BD : une méthode en bulles pour les nuls

http://www.lagrandeparade.fr/Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Un aveu : « J’ai toujours eu une passion pour La Fontaine Â». Puis une confidence : « On l’ouvre au hasard et c’est un bonheur absolu, chaque fois. Il a beau être infiniment connu, on ne sait rien sur lui.

Lire la suite : Erik Orsenna : bonheur absolu avec La Fontaine

L'écrivain calomniéPar Félix Brun - Lagrandeparade.fr/ La littérature a été marquée par « La Vingt-Cinquième Heure Â», paru en français en 1949, immortalisé par le film d’Henri Verneuil en 1967 et l’interprétation inoubliable d’Antony Quinn. L’auteur de cet immense roman Virgil Gheorghiu démontre la fin de l’humanisme occidental emporté par la spirale du nazisme et du bolchévisme : l’être humain perd sa qualité de sujet et devient un simple élément du mécanisme social ; Virgil Georghiu dénonce et accuse les vainqueurs de la 2ème Guerre mondiale américains et soviétiques d’avoir engendré la déshumanisation des sociétés.

Lire la suite : Les Editions de la Différence : Rendre justice à « Virgil Gheorghiu l’écrivain calomnié »

Dico des nanasPar Delphine Caudal - Lagrandeparade.fr/ « Pour que chaque femme puisse faire son cheminement en toute sérénité et liberté dans sa féminité, il faut d’abord qu’elle soit correctement informée Â».

Lire la suite : Le dico des nanas : pour dédramatiser les étapes de la féminité

conseilPar Catherine Verne - Lagrandeparade.fr/ Le maître de conférences Annie Hourcade propose dans le présent ouvrage une étude dense et érudite du conseil chez les Sophistes, Socrate, Platon et Aristote, de son émergence en tant que notion aux subtilités de sa pratique.

Lire la suite : Le conseil dans la pensée antique : un ouvrage érudit d'Annie Hourcade

GiordanoPar Félix Brun - Lagrandeparade.fr/ Plus qu’un roman, mieux qu’un recueil de recettes, le livre de Raphaëlle Giordano se déguste avec gourmandise, un vrai plaisir.

Lire la suite : Raphaëlle Giordano : Comment vaincre la « routinite aiguë » ?

picquierPar Félix Brun - Lagrandeparade.fr/ Il faut Â»maîtriser l’ombre et la lumière Â» car « ce qui brille trop fort ne procure pas l’apaisement de l’esprit. Â» Cet essai de Tanizaki date de 1933, il nous enseigne les principes et les bases de l’esthétique japonaise par le truchement, le jeu de l’ombre et de la lumière, le clair-obscur.

Lire la suite : Tanizaki Jun’ichirô : « Louange de l’ombre » ou les jeux du clair-obscur

SensibilitéPar Catherine Verne - Lagrandeparade.fr/ L'ouvrage décortique d'abord comment "Une lettre" opère une sorte de révolution ésthétique non sans écho au manifeste phénoménologique husserlien. Cette oeuvre dit la défaite du dire et par là-même de la littérature classique dans la mesure où Hoffmannsthal y retire au sujet parlant les filets du dogme traditionnel qui fondait tout espoir en la rhétorique et la logique. Son personnage, Chandos, voit en effet en lui s'opérer une deconstruction du dire et en même temps communique sur cette intime expérience en témoin, via l'exercice épistolaire. Mais que faire de cette sorte d'épochè s'il en est qui ouvre ici le sujet aux confins du pulsionnel, voire au mystère animal, et surtout comment sortir de l'apparente impasse où se jette tout locuteur attestant d'une parole ainsi disqualifiée? Faut-il lui apporter une conclusion wittgensteinienne? Au lieu de répondre en logicien, il convient selon Paul Ducros de tout voir dans le positionnement de Hoffmannsthal sauf un renoncement à dire. D'ailleurs l'écrivain ne cessera d'écrire quant à lui. Et tant s'en faut que la répétition, comme renouvellement de la tentative d'expliciter ce qui veut se dire mais résiste au dire, équivale au silence prôné par Wittgenstein. On appréciera à ce titre les passages que le docteur en philosophie consacre ici à la confrontation des traitements de la question chez les deux Viennois, entre autres références transversales au surréalisme , à Proust ou Van Gogh, venant ponctuer la réflexion tout au long de cette étude remarquable. Car c'est toute une culture, affranchie de l'académique refoulement, qui se trouve convoquée par le paradoxe d'une parole juste à poser sur l'indicible. Hoffmannsthal quant à lui l'aura résolu par le choix du récit poétique ancrant l'imaginaire au plus vif des affects et de la sensibilité. 

Sensibilité et imagination
Auteur: Paul Ducros
Editeur: Hermann
Parution: 6 avril 2017
Prix: 28 euros


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