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forcePar Victor Waqué - Lagrandeparade.com/ Quatre couples et un homme sortent d’un opéra, l’Orontea de Antonio Cesti.

Lire la suite : La force qui ravage tout : le chant des émotions

ce mondePar Victor Waqué - Lagrandeparade.com/ Ce seul sur scène nous transporte dans la quête identitaire d’une jeune femme. Ecrasée par un monde en déchéance - le nôtre -  elle se projette dans la vie de sa grand-mère.

Lire la suite : Ce monde pourra-t-il changer un jour ? : un seule-en-scène à l'interprétation touchante

lucernairePar Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Du bonheur de donner, offre, au travers des poèmes et textes, un regard sur un aspect méconnu de l’œuvre de Bertolt Brecht.

Lire la suite : Théâtre : Au bonheur de B.B.

lennonPar Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Une rencontre imaginaire entre Lennon et McCartney nous replonge dans le mythe qu’ont su créer, en une décennie, les Beatles.

Lire la suite : Lennon et McCartney : une indéfectible amitié

tendressePar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/La Tendresse réunit sur le plateau de jeunes interprètes qui, par la parole ou la danse, racontent leur rapport à la masculinité. D’où il ressort qu’ils sont soumis, dès leur plus jeune âge, à l’injonction de virilité, qui implique le rapport de force, lequel peut amener à la domination… donc à la violence.

Lire la suite : Théâtre :...où il est question de de la masculinité toxique sans pathos!

paterPar Sylvie Lefrere - Lagrandeparade.com/ La scène du théâtre Monfort nous offre ce soir deux chaises vides, séparées par une table. Une métaphore de l'histoire de deux frères qui cherchent à remplir leur vide affectif. Ils mettent à plat leur histoire commune devant nous.

Lire la suite : Pater : un dialogue de frères percutant, entre gravité et dérision

renucciPar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/ « Oblomov », d’après le roman d’Ivan Gontcharov (1812-1891), est l’histoire, à la fois pathétique et prodigieuse, d’un homme tenu par la nostalgie (de l’enfance) et la paresse (la perspective de toute activité laborieuse l’épuise d’avance) qui ne quitte plus sa chambre, ni son divan. La mélancolie l’écrase. Ni ses amis, ni l’amour n’auront raison de cette inertie. Son domaine tombe en ruine (comme l’aristocratie), mais ce pétersbourgeois se laisse glisser dans l’apathie et la contemplation du temps qui passe… Il est la risée de la société qui le juge paresseux. Cependant, grâce à l’entremise d’un de ses rares amis, il tombe malgré tout amoureux. Un temps, cet état euphorique révèle des potentialités nouvelles : senteurs, couleurs, musique, vivacité des sentiments, charme et complexité des êtres…

Lire la suite : Théâtre : l’Oblomovie de Gontcharov revue par le camarade Renucci

lupinPar Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Un épisode rocambolesque ranimant le voleur, dandy, charmeur le plus populaire de la littérature française.

Lire la suite : Théâtre : la magie Lupin au Lucernaire

el condePar Victor Waqué - Lagrandeparade.com/ « Una imagen interior » est un moment unique. Une expérience artistique d’1h30, pas vraiment du théâtre, ni de la danse, pas une performance ni de l’opéra, mais un peu tout à la fois. Nous sommes plongés dans un univers original, qui critique sans compromis cette société déconnectée des autres vivants. La compagnie espagnole « El conde de torrefiel » nous propose un spectacle puissant et singulier, qui questionne notre perception du réel.

Lire la suite : El Conde de Torrefiel - Una imagen interior : à la recherche du réel

oceanPar Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ Autant le dire, ce spectacle brille par une double originalité : le fond et la forme.

Lire la suite : Le monde du silence gueule ! : Attention danger, spectacle d’utilité publique !

fete Par Victor Waqué - Lagrandeparade.com/ La folie se restreint-elle à l’hôpital psychiatrique ? Un assassin ne peut-il se définir que par l’acte qu’il a proféré ? Qu’est-ce que la tristesse ? Qu’est-ce que le bonheur ? Qu’est-ce qui définit notre humanité ? Non, ce spectacle n’est pas un recueil de dissertations philosophiques, pourtant, il ne cesse d’aborder ces questions de l’existence. Sous couvert d’un humour décapant, absurde et immersif, « La vie est une fête » nous plonge avec brio dans un monde intense, gorgé de paradoxes, le nôtre.

Lire la suite : La vie est une fête  : baignade en terre de fous

executeur 14Par Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Exécuteur 14 nous plonge dans le mental d’un guerrier qui, de victime, se fait bourreau. Une interrogation sur la banalité du mal.

Lire la suite : Exécuteur 14 : du sang pour laver le sang

connassePar Delphine Caudal - Lagrandeparade.com/ Dolores, elle est bien trop gentille, et bien trop lassante. Créatrice de lingerie, elle fait pourtant preuve d’un étonnant bagout avec un pull de Noël peu flatteur. Alex, lui, c’est le « Dieu du Sexe », un véritable « connard » balayant d’un revers de main ses conquêtes. Il ne s’attache à aucune femme, et « se tape plus de meufs qu’il y a de jours dans l’année ».

Lire la suite : C’est décidé, je deviens une connasse : une comédie pétillante et grinçante

criéePar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/  Avec Adieu la mélancolie , Robin Renucci donne le ton de ce que sera la programmation à la Criée, sous sa direction (il succède à Macha Makeieff). Ce sera à la fois ambitieux, exigeant intellectuellement, et spectaculaire. On a senti une partie du public déstabilisé, pour ne pas dire décontenancé, par cette pièce dont le « McGuffin » (comme disait Hitchcock, à savoir le prétexte au développement du récit) est la Révolution Culturelle en Chine. Dit comme ça, avec un titre pareil (ah ! la mélancolie…), ce n’est pas très sexy). Et pourtant, quelle claque ! On ressort de cette expérience théâtrale plus décoiffé que par le mistral. Sans parler des esgourdes, encore vibrantes des mots qui résonnent aussi fort que la batterie placée sur le plateau.

Lire la suite : Adieu la mélancolie : les coulisses d’une Chine incomprise

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